Kaer-Sham [Magicien, Camorra]

Nom : Ambrozigyn (mais personne ne le connait sous ce nom)

Prénom : Kaer-Sham

Surnom : Depuis le temps, il en a beaucoup trop pour tous les énumérer et tous se les remémorer. On le nomme communément l'Ancêtre, le Prophète, le Marchand d'information, le Vieu Rapace (de façon péjorative), le Voyageur ou le Rêveur.

Âge et date de naissance : Né le 8 Novembre, il y a 788 ans de cela.

Race : Magicien

Clan : Camorra

- Rôle : High magus

Rang : Marchand d'information

Description physique : Le corps de Kaer-Sham est vieu. Il a terriblement changé depuis 788 années. Aujourd'hui, malgré tous les traitements magiques et naturels qu'il a subit, il n'est plus qu'un vestige... Une carcasse faible, aux muscles atrophiés, aux nerfs presque insensibles, qui ne peut tenir debout et se mouvoir sans l'aide de machinerie. Il ne reste plus un poil sur ce corps de taille moyenne (1m72) pour un poid plume (86 livres, soit 39 kilos). À la place, des croûtes semblables à de la corrosion se sont formés partout sur son être. Sa peau est terne et sèche, ses mouvements sont lents et calculés, difficiles. Ses yeux sont devenus totalement noirs et ses traits sont devenus fade et verdâtre. Même s'il ne porte pas tant de rides ni de marques visibles de la vieillesse, il est évident dès le premier regard que cet homme est ancestral. Sa bouche pâteuse ne peut plus émettre le moindre son : elle est en quasi permanence connectée à un respirateur qui l'aide à rester à son aise. Outre cela, il n'a pas l'air vieux d'apparence. La teinte de son corps lui donne une apparence mystique, surnaturelle...

Description morale : Kaer-Sham a longtemps espéré ce que tout homme puissant veux : plus de pouvoir. Mais bien vite, il a comprit que ce jeu ne pouvait se jouer qu'en finesse, que ses capacités ne lui permettaient pas de prendre le risque de se montrer au grand jour. Il est vieux et cela parait dans sa mentalité. Il prend énormément de temps avant de poser une action, et pèse longuement chacune de ses paroles. Il possède une sagesse immense, car la concentration et les réflexions profondes ont toujours étés ses premières préoccupations. Il n'est pas du tout embêté par son handicap physique, car il considère que les paroles font une meilleure arme que la lame. Fier et terriblement orgueilleux, Kaer-Sham s'emporte facilement lorsqu'il est prit au dépourvu. Confortable dans son poste, il est un négociateur rapace et avide. Son but : ne jamais mourir ; trouver la clé de la véritable immortalité... Pour se faire, il est près à tout.

Pour lui, tout autour n'est que pantin qu'il peut utiliser. Il manipule pour tirer profit de chaque situation et aime qu'on obéisse à ses volontés. Cynique et parfois cruel, cet homme croit fermement en la loi du plus fort. Celui qui aura l'information et le potentiel de son côté pourra s'élever, les autres resteront ce qu'ils sont ; de misérables erres voué à s'échouer au détour du chemin. En contrepartie, l'ancêtre a très peur de perdre sa vie. Il fera preuve de prudence et de sournoiserie s'il le faut, mais il ne veut surtout pas perdre ce qu'il a réussit à accumuler depuis sa naissance. Il respecte néanmoins les autres sorciers et les passeurs, est fasciné par les êtres vivants, surtout ceux qui sortent de l'ordinaire. D'ailleurs, il a besoin de l'appui des gens pour pouvoir continuer à exister et à avancer dans sa quête de l'immortalité, vues ses limitations. L'être rapace aime à sonder le monde et passe son temps dans des plaisirs purement psychologiques que la plupart des êtres terrestres ne pourraient même pas concevoir.

Autres et détails importants : D'abord, les pouvoirs de Kaer-Sham. Capable de s'exprimer par voie mentale, celui-ci est aussi capable de voir et d'entendre des choses qui se passent n'importe où (ou presque ?...) à portée d'imagination. Ces "voyages" se font dans une sorte de transe pendant laquelle l'ancêtre n'est plus conscient de ce qui l'entoure dans l'immédiat. L'état de stase nécéssaire prend quelques minutes à atteindre, selon les facteurs de la vision désignée. Outre cela, il maîtrise la magie rituelle, qui propose des effets variés, mais il nécécite pour cela de nombreux ingrédients et des magiciens assistants dès que le sort est le moindrement important. De plus, la magie rituelle étant très exigente, elle est parfois très risquée pour son corps fragile, alors il a généralement toujours des "infirmiers" qui s'occupent de lui au cas où il ne supporterait pas le choc (qu'il appele à l'avance aux endroits appropriés du complexe). En sommes, il ne se concentre en rien sur les pouvoirs à capacité destructrices pour plutôt viser dans l'information et la communication. Notoirement cloîtré dans sa pièce, entouré de machineries et d'ordinateurs, Kaer-Sham nécéssite l'aide extérieure (et une très bonne raison) pour quitter la pièce. Dernier détail : Vue sa situation, Kaer-Sham a toujours un homme de main non loin, près à réagir au moindre appel mental. Cet être est capable de veiller à ses bons soins et est réputé être un terrible combattant, silencieux et obéissant.

Reliques et objets précieux possédés : S'il peut être considéré comme un objet précieux, l'ordinateur qui entoure le sorcier est l'un des plus puissants qui existe. Il est directement relié à son esprit, il peut donc avec quelques manivelles faire plusieurs recherches à la fois, et afficher sur l'un de ses nombreux écrans des images qui proviennent directement de son esprit (fait exigent qui ne peut être soutenu sur de longues périodes). Kaer-Sham espère trouver des reliques qui pourraient lui permettre d'atteindre son but ultime. Celles qui ne peuvent l'aider en ce sens ne lui sont d'aucun intérêt ; elles apportent toujours des ennuis et des gens avides avec elles, et il est difficile de les cacher.

Biographie :

Extraits du journal informatique de Kaer-Sham Ambrozigyn

Je me souvient encore de ma jeunesse. Un petit garçon intelligent, calme et cynique... J'étais déjà fier de moi à cette époque. J'écoutais papa et maman me dire comment vivre, je leur obéissais docilement, puis lorsqu'ils avaient le dos tournés je m'adonnais à la sorcellerie et la consommation de spiritueux. Ce qu'ils pouvaient être naïfs, mine de rien... Moi aussi d'ailleurs. Je me suis bousillé les neurones à espérer toujours trouver l'amour sur cette machine merveilleuse qu'est l'ordinateur. L'amour... combien de siècle m'as t-il fallu pour enfin comprendre à quel point cette notion est futile ! Tout jeune, j'étais avide d'information, et l'instrument du net était une méthode fantastique. Mes obscessions n'étaient toutefois pas totalement assouvies, et je pratiquai cet art qu'est le voyage astral. J'en ai vu des femmes se dénudé devant moi de cette manière... pauvre fou, ces souvenirs me font honte ! Je me revois, étalé au sol, l'écume à la bouche, la seringue à la main, les yeux révulsés...

Un jour, bien sur, mes parents comprirent. Ils étaient naïfs, mais je retenait bien d'eux mon intelligence. Ils ont essayé, comme tout bon parents, de me soigner. Et comme tout parents qui se respectent, ils ont encore rempiré la situation... Bientôt, je ne contrôlais plus mon pouvoir (souvenirs, souvenirs...) et mes visions se mélèrent à la réalités. J'étais en hopital psychiatrique lorsque mes parents sont morts. Un accident liée à la magie, parait-il. Je n'avais pas toute ma tête à cette époque, alors cela m'a prit des années pour bien saisir que maintenant j'étais seul. Quelques années plus tard, j'entrepris de m'évader. Mais ce plan n'eut finalement pas lieu, car on me fit sortir avant le temps, contre toute attente. Cela me fit beaucoup réfléchir. Le monde avait changé et moi aussi. J'avais alors 30 ans. Et dès que j'ai mis le pied hors de cet établissement, ça m'a frappé comme un boulet de canon ; 30 ans... sans rien. Ni famille, ni maison, ni amis stable... Juste.. ce pouvoir.

30 ans... Et seulement après tout ce temps mes yeux s'ouvraient. J'étais tellement hors de moi et pétrifié que je faillis piquer une crise de nerfs devant l'hopital. Heureusement, j'eu la présence d'esprit de m'en éloigner pour reprendre mon souffle, histoire de ne pas retourner y moisir encore quelques années de plus. Le hasard fit bien les choses ; je tombai sur une ruelle où je me mis à délirer silencieusement, quand j'apperçu quelques affiches sur un mur. C'était la traque aux magiciens, semblait-il. Ou quelque chose du genre.. Je restai perplexe, ne sachant trop quoi penser de cette insulte supplémentaire à mon existence. Je décidai donc d'essayer de mener une vie ordinaire pendant un moment. Mais bien vite, la vieillesse me rattrapa ; 40 ans. Parait-il que cet âge soit le sujet de bien des crises chez les mâles humains... Ils ne savaient pas si bien dire ! Mais moi, c'était de voir ma vie et toutes mes infinies possibilités disparaître qui me désolaient... que dis-je, je n'étais pas désolé... j'étais détruis.

Je quittai mes petits boulot et me mis à travailler comme livreur pour le marché noir. Je retournai dans les spiritueux, avec plus de sagesse et d'audace cette fois. Je connaissais maintenant suffisement mes capacités pour savoir ce qu'il me fallait pour aider ma concentration. Je me terrai dans le silence, je passai mon temps à chercher sur le net, et à perfectionner ce pouvoir, ainsi que d'autres quand le temps le permettait. Je dédaignais la pratique de la magie évocative, du contrôle des éléments et tout ce froufrou éblouissant et inutile. D'ailleurs, il est à souligner que je le fais toujours. J'y pense.. j'aurais pu devenir l'un de ces passeurs. Mais je m'y refusais, je préférais me tourner vers des variantes de ce style. Ce pouvoir, il m'était venu seul ; je me refusait de le perdre en changeant d'une carcasse à une autre. La perfection, c'est avec ce corps que je l'atteindrai, aussi longtemps que cela prendra.

Les années passèrent, et je ralentissais ma vieillesse de mille façons toutes plus audacieuses les unes que les autres. Des produits rares, des sortilèges... Et puis je me tournai vers la méthode facile ; la capture de l'essence même de la vie, l'absorption de l'âme pour en faire de la vie à l'état pure. Pour se faire, j'avais encore besoin de concentration. J'ai commis quelques meurtres, plus maladroits les uns que les autres. Pas une grande fierté en somme, j'étais un piètre assassin, nerveux et pas suffisement en forme, ni en confiance, pour abattre une cible convenable. J'en ai gardé quelques blessures, qui ne paraissent plus beaucoup aujourd'hui. En outre, on m'a troué le bras, planté un couteau dans le ventre et frappé avec une lampe sur le crâne à plusieurs reprises. Heureusement pour moi, tout cela dans des cas séparés. Je m'étais fait un nom dans le marché noir, j'avais de l'influence et, grace au travail acharné, à quelques arnaques bien placées et à beaucoup de chance, je me dégottai un magot considérable.

[...] J'ai vécu... si longtemps... dans le silence. Pour la forme, je sortais parfois au grand jour dire un petit bonjours à tous mes compatriotes magiciens et escrots. Mais les 3 quarts du temps, je le consacrais à la méditation et l'exploration de mon subconscient, le voyage dans l'infini et le rêve... Je ne réagis même plus lorsqu'on vint m'annoncer ma 350e années de vie. Je me sentais faible. Trop faible. J'avais peur que le temps ne me manque pour réaliser mon rêve. Bientôt, je ne put même plus marcher. Ce ne me fit même pas un pincement, car j'avais enfin un prétexte pour ne plus aller voir ces imposteurs et ces gens inintéréssants qui formait mon entourage. En plus de 350 ans, la richesse s'était accumulée, et je décidai de me gâter. Presque toute ma fortune y passa ; l'un des plus puissants ordinateurs du monde !!! Et je pouvait même y siéger. J'étais à mon aise, et je pouvais vivre en cet endroit. Je ne me fit pas prier, ce qui d'abord remplis de joix mes comparses les fit vite devenir insécure ; je ne m'occupais plus d'eux.

C'était aussi bien ainsi. Enfin j'avais trouvé quelque chose à faire pour éviter de m'occuper de ces gens insipides. Encore à cette époque je cherchai les relations... Pffft ! À croire que 350 ans n'est pas encore assez pour s'ouvrir les yeux : l'amour est un mensonge. Un instinc purement animal camouflé habilement sous un prétexte humain. Bientôt, me syeux ne supportèrent plus très bien la lumière, alors j'essayai de me trouver un endroit sécuritaire où je pourrais continuer à loisir mes recherches. C'est pas hasard encore une fois que je tombai sur la Camorra. Un ami que je dédaignais sans retenu, qui pour m'impressioner me montra l'organisation en question. Intrigué, j'y jetai un oeil pour m'appercevoir qu'il existait autre chose que de vulgaires sectes de magiciens qui se fesait tour à tour avaler bêtement par ces inquisiteurs. D'ailleurs, je suis heureux d'avoir réussi à m'éviter leurs fouets à ceux là... Depuis le temps j'aurais cru qu'ils auraient pu avoir une preuve quelconque de mon affiliation avec les forces de l'ombre et l'art profane.

[...] 200 années passèrent, se ressemblant de plus en plus. Après tout ce temps, on finit vraissemblablement par être blasé de l'humanité. la sagesse rentre, mais le désir lui est toujours aussi présent. Je n'y comprend rien, j'ai pourtant fait tout ce que je devais faire, j'ai soulevé des montagnes pour rester jeune... Et pourtant je le sens je faiblis toujours un peu plus. Chaque décénie rajoute un poid à mon être, et même si je suis confiant de pouvoir vivre encore longuement, je crains que mon corps ne soutienne plus indéfiniment mon esprit suractif. Avec fascination, je regarde le monde changer, se transformer. Il n'est plus ce qu'il a déjà été. Et moi au travers de tout ça, je suis neutre, je travaille pour mon propre compte, mais c'est au service de l'ensemble de l'institution de la Camorra que j'active mes méninges. D'ailleurs, elle aussi a changé au cours du temps... La technologie, le personnel... Et les visages des passeurs que je ne reconnais plus par mes yeux...

Mes yeux sont presque aveugles, mais ils voient plus que jamais. Nos yeux nous trompent. Je ne peut pas collecter seul mes essence vitales. J'ai besoin de mercenaires pour me les apporter. Bien sur, j'engage des gens pour faire cela en toute subtilité, pour un présage idiot sur je-ne-sais quelle niaiserie banale. Mais les âmes pures, celles qui comptent et qui pourront tonifier un peu cette envellope pourrissante et engourdie, je ne peut les atteindre aussi facilement. J'ai besoin de mercenaires pour de tels travaux. Et les mercenaires demandent des informations bien plus intéressantes. Certains d'entres eux sont réellement fascinants. Depuis si longtemps je corromps mon essence avec celle taché de n'importe quel passant sans valeur. C'est quelque chose de plus fort dont j'ai besoin maintenant. C'est ma nouvelles drogue, les autres ayant depuis longtemps perdu toute saveur. Je vis au travers de miliers, de milions, de miliards d'yeux.

[...] Aujourd'hui, j'ai 788 ans. J'ai encore enrichis mes ressources et j'ai mon petit coin tranquille au sein de l'organisation mère. On me demande bien des services... Et je décide de la paye selon les facteurs... Je le sens, je suis près de mon but. Je ne suis qu'omnicience ! L'âge à fait ses effets... Tellement que certains prétendent que je ne suis plus un homme. Ils ont raison... J'ai choisis la voix ardue pour atteindre l'immortalité, et il me plait de converser avec des gens encore plus vieux que moi, dont le corps est jeune, vigoureux... Je ne les envis pas. Mon esprit est unique, et ma sagesse est sans borne. Demandez, et je vous répondrai. Mais vous devrez bien sur en payer le prix. Combien de temps êtes vous près à payer pour de l'information ?... Je me complais à m'assurer d'une chose, notion puissante ; Ma vie n'est pas sur le point de se terminer.... Elle est sur le point de commencer.

pas changé depuis 700 ans plutôt, non ? sinon tu dois être tout joufflu, potelé et minuscule ^^

Ses transes et "voyages" devront se faire à partir d'un rituel : pas direct.
Il faut limiter aussi le "n'importe où"
Et les êtres puissants peuvent le remarquer, avec les risques que ça comporte.

Des hommes de main : nan. Un garde du corps/apprenti.

Je regarde l'histoire demain.

Citation :: Pas changé depuis 700 ans plutôt, non ? sinon tu dois être tout joufflu, potelé et minuscule ^^

Hahaha ouais ! Bah il me semble que c'est à peu près ce que j'ai dis non ? :P
EDIT : Hem, c'est vrai que c'était légèrement boiteux, alors j'ai modifié tout simplement

Citation :: Ses transes et "voyages" devront se faire à partir d'un rituel : pas direct.

Humm... puisque j'ai un gros ordinateur pour les informations secondaires, ça me semble être une demande tout à fait convenable (surtout que je peux pas me battre comme une toute puissante admin *se cache*)

Citation :: Il faut limiter aussi le "n'importe où"

N'importe où, par défaut. Mais j'employais ce terme pour "n'importe quel endroit". Si une force quelconque est érigée pour m'en empêcher, ce sera un plaisir de prendre en compte la limitation et de faire grogner mononc' Kaer. Est-ce que cela vous convient ? (daaaah désolé moi je vouevois les gens que je connais pas et les administratrices.. mumph.. :/)
EDIT : J'avais noté (ou presque) justement pour ce détail :]

Citation :: Et les êtres puissants peuvent le remarquer, avec les risques que ça comporte.

Bien sur ;p

Citation :: Des hommes de main : nan. Un garde du corps/apprenti.

Puisque je me trouve dans les quartier de la Camorra, je prenais en compte que je pouvais disposer d'une part du personnel vue ma situation. Par exemple, 2 gardes (très efficaces si possible !!!) capable de s'occuper des petits besoin du pauvre vieillard... Des esprits, par exemple, me sembleraient bien appropriés. Je ne refuserais pas non plus que quelqu'un se dévout pour incarner ces personnages... Menfin... Je vais faire une ou deux modification pour tout de suite, faudra me dire ensuite les avis ;]

Citation :: Je regarde l'histoire demain.

Bonne lecture...

L'histoire me convient tout à fait.

Le seul truc c'est l'histoire des deux gardes. J'insiste quand même pour que tu réduises à 1 apprenti : trop de PNJs réduit l'intérêt de chacun d'eux et j'aimerais autant que toute ton attention soit concentrée sur 2 persos maximum.
Ensuite, effectivement, tu peux ou pas demander à ce que quelqu'un remplisse le rôle si il est intéressé.

J'aime assez l'image du disciple qui sert son maître avec dévotion (ou pas)...

Note que le personnel médical n'est pas inclu dans ledit disciple (il peut y avoir qq personnes pour veiller à ses besoins vitaux...) mais je préfèrerais que tu n'aies qu'un seul "colaborateur" (on verra pour un second si le poste intéresse un joueur après...)

Notons que ce n'est pas une raison pour doter le garde du corps de pouvoirs et tout : trop de puissance amène en général des admins mécontents à ta porte ^^

Une fois ça fait, validation.

Le problème, c'est que je suis très fragile... Et je doute que le personnage ai le moindre intérêt à apprendre la magie à un élève. Tout ce qu'il veut, c'est un garde du corps. J'accepte de réduire à un, c'est vrai que je suis tout de même au milieu d'un complexe tout ce qu'il y a de sécuritaire... Et que je peux faire appel aux gens au besoin. Alors d'accord. Un garde, mais tout un, car Kaer-Sham exige le top. Quelqu'un qui sait s'occuper un peu de la machinerie, un peu des soins de base, et une brute pour le reste. Je fais les modifs !

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