.:Ankh:. [Passeur :: Camorra]

Je me présente, je suis le major d'homme de Monsieur De Kervanno, je viens le présenter à sa place, car Monsieur est occupé en ce moment.

Nom : De Kervanno

Prénom : Elwan

Surnom : Il en a quelques un... Sorcier, Suppôt de Satan, Prêtre noir... Mais tout cela est futile... Ses vrai surnoms, comment dire... Monsieur aime se faire appeler Ankh, maintenant qu'il est dans le corps de cette jeune fille... Surnom en rapport avec le symbole de la vie éternelle égyptien, sans doute... Sinon Monsieur se fait appeler par le nom de sa victime : Angela... Angel en plus court.

Âge et date de naissance : Monsieur est né le 28 septembre 1768, dans une sombre époque, si je me souviens bien

Race : Passeur... C'est comme ça que l'on qualifie les gens comme mon maître ici

Clan : La Camorra, évidamment, Monsieur est très porté sur les arts que les ignorant qualifie de "noirs"

- Rôle : Restaurateur, Monsieur a toujours eût un intéret particulier pour les artéfacts, et autres objets mystiques.

Rang :Devil is Angel ou autre si vous trouvez un autre plus interessant

Description physique : Une description physique de Monsieur? Et bien, c'est un homme. Cela ne suffit pas? D'accord, je vais vous décrire mon maître... Avant et après son rituel de passage... Monsieur était un jeune homme, ayant entre vingt et trente ans, je ne sais pas son âge exact car il ne m'est pas permis d'en savoir autant sur Monsieur, même si au fil des années passée avec lui, je le connais mieux que personne, mais revenont à notre sujet... Donc, je disais que Monsieur était âgé d'une vingtaine d'année. Malgré son jeune âge, il était séduisant, enfin c'est ce que laisse penser son nombre de demande... Un visage d'ange, des cheveux noirs de jaie, et des yeux d'une couleur plutôt rare : gris!!! Son regard m'a toujours intrigué, je dois dire, et même effrayé certaines fois!!! C'est déstabilisant, car ses yeux son ceux d'un aveugle... personne à la vision déficiante que l'on dit maintenant si je me trompe pas... Mais ne nous attardons pas sur ce points, j'en ai des frissons!!! Son visage était sombre, non par sa peau, mais par ses expressions, il était très difficile de lui arracher un sourire. Et quand il souriait, il arborait une expression malsaine, qui mettait mal à l'aise son ou ses interlocuteur(s). Monsieur etait aussi un jeune homme en bonne constitution physique. Ses muscles se dessinaient fièrement sur tout son corps, malgré la maladie qui le frappa en 1820 si mes souvenirs sont bon... Mais cela est une autre histoire. Je continue : pour résumer, Monsieur était un bel homme. Je ne peux vous décrire le bas de son corps car je ne l'ai jamais vu nu ou dans un acoutrement laissant voir le bas de son corps.
Passons maintenant à ses vètements si vous voulez bien... Monsieur avait un style à lui, il faut le reconnaître. Toujours habillé d'une chemise, à jabot le plus souvent, il portait un gilet par dessus... Un gilet en brocart pour les connaisseurs. Celui ci était soi bordeau, soit d'un violet assez foncé, tirant plus sur le noir que sur le violet. Ah oui!! Sa chemise était toujours noire, il était rare que Monsieur porte une chemise blanche... Un pantalons assez élégant, noir lui aussi, et pour sortir, Monsieur mettait une redingote en velour. Dans ses habits, Monsieur était très élégant! Mieux que les célébrité de l'époque tel que les chefs de la contre révolution : Bonchamps et Cathelineau, entre autres... Si je peux me permettre de faire une réflection sur ce sujet là, c'est que j'ai admiré le courage ou l'inconsciance des gens de l'époque...

Maintenant, je vais vous décrire son corps actuel...Un sacré changement, si vous voulez savoir, Monsieur est très différent avec ce corps, tellement que j'ai du mal à le reconnaître... En effet, Monsieur s'est "logé", si l'on peut dire, dans le corps d'une femme! Si, je vous jure... J'avoue que Monsieur n'avait pas trop le choix, et puis mon corps n'est pas de première qualité, si vous me permettez l'expression. Ce corps est plutôt élégant, et séduisant. Sa chevelure est brune. Parlons un peu de ses cheveux. Ceux ci sont bien entretenu, donc bien coiffés. A mon humble avis, ils sont doux et soyeux... Je dit à mon humble avis car je ne me suis pas permit de toucher ses cheveux... Le dernier maître d'hotel qui m'a précédé, donc à l'époque où Monsieur était encore un homme, s'était fait couper la main car il avait oser gifler Monsieur, qui n'avait que cinq ans à cet époque là... Sacré Monsieur... A ce qu'on raconte, il était une vrai terreur... Hum, revenons à nos moutons! Le corps de jeune fille de Monsieur est beau, vraiment magnifique... La victime a bien été choisit... Caractéristique que l'on retrouve chez cette jeune fille, c'est qu'elle a une peau pâle, qui dégage une sensation de douceur. Elle est désirable... On dit qu'elle inspire l'amour rien qu'avec son corps... Si vous voulez mon avis, Ces gens sont que des poètes désavoués en manque de relation... Enfin bon, mon avis n'est pas important. Je ne vous décrirais pas plus Monsieur, car je ne l'ai pas vu plus... Ah si! Son habillement! J'allais oublier... Toujours dans le même registre, mais au féminin... Monsieur porte des robes en satin, et en velour principalement, il porte aussi des corsets... Je ne comprend pas... Monsieur veut que depuis qu'il a son nouveau corps, il veut que je l'appelle madame... Le rituel à dût déranger son intégrité mental... Pourtant avant, tout était bien, quand il prenait des corps d'hommes...


Description morale :Mentalement... Il est difficile de qualifier Monsieur... Mais je vais essayer. Veuillez m'excuser si cette description n'est pas construite, mais vous me prenez au dépourvu! Tout d'abord, Monsieur est poli, cela vient sans doute de son milieux d'origine... La noblesse. Mais cela ne l'empèche pas d'utiliser des grossièretés, au contraire! Comme vous pouvez vous en douter, Monsieur est très digne et à une certaine fièreté... Rongée par le temps certe, mais elle reste. Cultivé! Un mot qui qualifie bien Monsieur! Monsieur n'aime pas que l'on dise cela, car il trouve que j'exagère, mais Monsieur est érudit dans ses domaines de prédilection, c'est à dire en histoire, en art occulte, et dans l'histoire de la sorcellerie, tout les arts "noirs", comme disait la populace avant d'essayer de le brûler... Monsieur est aussi tolérant, et il n'accepte jamais que l'on rabaisse quelqu'un pour son physique, ni pour son mental... Bien sûr, il est humain, il lui arrive donc de rabaisser des personnes qu'il n'apprécie guère. Ensuite, Monsieur n'est pas très bavard, sa curiosité le poussera peut-être à poser des questions, ou a répondre, mais si il ne sent pas le besoin de parler, il ne parlera pas. Il déteste parler inutilement! Peut être que là encore son éducation intervient car à l'époque de son enfance, la noblesse apprenait à sa progéniture à garder le silence devant les grandes personnes... Monsieur a toujours respecté cette règles, et maintenant encore... Certain, je pense, pourrait dire qu'il fait preuve de soumission, mais allez trouver le cran de lui dire cela en face, et allez trouver aussi la chance néssécaire pour ressortir de l'entretiens en bonne santé physique... J'ai remarqué que maintenant que Monsieur est une femme, il est plus réservé, et pense plus sur le sens des sentiments et des émotions... Peut-être se féminise-t-il à force de rester dans le même corps... Ah oui! autre point important! Monsieur est d'humeur versatile... Bien que quand il se lève le matin, sont humeur est toujours proche du mot "déprime"... Mais il peut s'énerver pour une broutille et envoyer tout le monde "sur les roses" si vous me permettez l'expression. Autre coté de la personnalité de Monsieur : Il est romantique... Il aime les roses, et offrir ses magnifiques fleurs. Il aime les ambiance calme, les décors fait de chandelles et de décorations du passé. Les dîners aux chandelles... Même si il mange seul, il les aime!!! Il passe beaucoup de temps le soir devant sa cheminée, contemplant les flammes danser comme des furies. En général il est dans son fauteuil avec un verre de vodka sur la tablette à coté... Depuis qu'il a découvert cet alcool qui nous vient de l'est, Monsieur en veux pour ses réceptions, malgré qu'il n'en fasse plus depuis qu'il a ce corps... Mais malgré cela, Monsieur est toujours resté un solitaire... J'ai essayé de le mettre avec une femme qui prendrait soin de lui, mais Monsieur n'en veut pas... Disant qu'il n'est pas un homme fait pour être en couple... Que Monsieur n'est pas l'homme à avoir à la maison pour une femme... Mais Monsieur a des défauts que je vais essayer de vous énumérer sans faire de commentaire, car ce n'est pas mon rôle de critiquer mon maître! Donc, Monsieur possède un des péchée capitaux chrétiens : la colère... Passons aux autres... Il peut être blessant dans ses paroles, et en le voulant! Son principal défaut est sa méchanceté envers les personnes qu'il n'aime vraiment pas... Avec elles, la courtoisie de Monsieur disparait tout de suite! Monsieur est pessimiste, il a vu comment le monde évolue depuis sa naissance et est assez découragé... Je crois que j'ai fait le tour du caractère de Monsieur... Ah oui! J'ai oublier cela! Depuis quelques temps, Monsieur a une opinion assez mauvaise de lui, et il est facilement flatté quand les gens lui disent des mots gentils. La mélancolie fait parti de lui maintenant, dès qu'il se sent seul...


Biographie : Ah!!! L'histoire de Monsieur... Je ne peux vous la raconter, car je ne connais pas ses débuts. Je vais aller vous le chercher pour qu'il vous raconte son histoire... Le voila justement... Monsieur, ces messieurs veulent savoir votre noble passé...

Merci Alfred, laissez nous je vous pris

[histoire à la suite]


Reliques et objets précieux possédés : Une relique? Un objet précieux que je possède? Croyez vous vraiment que je vais vous le dire? Je vais vous en montrer un ou deux... Tout d'abord, ce que mon major d'homme appelle "le grimoire"... C'est en faite un vieux livre, plus vieux que moi, qui contient des informations sur la magie "noire", sur les mythes interdits, et qui contient des gryffonages de sorciers du passé... Des incantations sont écrites dedans, mais des morceaux manques... Je m'efforce de retrouver les parties manquantes.

Je possède aussi un autre objet, mais qui a une valeur toute autre... C'est un médaillons... Je ne pense pas qu'il est de valeur magique, ni de valeur en pièces sonnantes et trébuchantes, mais je m'y suis attaché... Un cadeau de l'ancien temps...

Mon histoire? J'espère que vous êtes patient! Venez donc vous asseoir dans le canapé... Donc, je vais essayé de vous raconter cela.
Je suis né une nuit de pleine lune le vingt huit Septembre de l'an mil sept cent soixante huit, dans une famille de la noblesse Bretonne. Cette famille, pour vous donner un aperçu, était assez stricte, j'avais deux frères que je n'ai jamais vraiment connu, sauf par les récits de mon père. L'un s'était engagé dans l'armée de notre bon roi Louis XVI, et l'autre avait été au clergé, voulant se faire curé. Franchement, pour vous donner mon opinion, je n'ai jamais cru, même si je priait tout les soir avec mon père et ma mère avant de commencer le repas. Etant de la noblesse, mes parents pouvait m'offrir la meilleur éducation qu'il y ai... Je fût donc prit à mes cinq ans sous la coupe d'un tuteur, si l'on peut appeler ça comme ça. Il m'apprit les arts comme la peinture, la musique et la danse. Il parait que je dansait assez bien la valse, mais je n'ai jamais aimé cela... Etre devant tout ces gens qui vous observent et qui attendent que vous vous trompiez dans la cadence, ça m'énervait! Par contre, je me suis passioné pour la musique... Le luth en particulier, pour les gens de votre époque, je pourrais qualifié cet instrument d'ancêtre de la guitare. Enfin... revenons à notre récit... Ce maître ne m'apprenait pas que cela... Il m'apprit la politesse, la courtoisie, et comment se tenir à table et devant des hôtes de marque... Aujourd'hui c'est les parents qui aprenne tout ça à leur progéniture, mais à l'époque, c'était comme cela que l'on faisait. Outre les arts et les qualité indispensable à un bon noble de cours, mon tuteur m'a appris le maniement des armes, tel que l'épée, la dague, le sabre de cavalerie, mais aussi le pistolet et le fusil... Si j'avais su ce qui allait ce passer quelques années plus tard, j'aurais peut-être mieux suivie ses cours... Oui, car je suis né dans la période que les historiens ont appelé : l'avant révolution... Je dois dire que il ont du chercher bien loin pour trouver ce nom... Comme vous vous en doutez, mon enfance était rythmée par ses cours avec mon tuteur, les réceptions chez les autres nobles et des cours de stratégie donnés par mon père lui même! Mais je trouve que j'étais trop jeune et trop insouciant à cette époque là... Je visitais les villages de la populace quand je n'avais pas d'obligation avec mes parents, ni avec mon tuteur d'ailleur... Ces villages étaient assez bien, à mon goût, mais sur mon passage, on sentait déjà une tension palpable... Tellement palpable que à la fin... oui, à ce moment là c'était vraiment la fin... A la fin, mon père me faisait accompagner par une escorte de huit soldat du roi... Oh, les paysan bretons ne faisait rien de mal, mais c'était les paysans venu de Paris... Ils soufflaient à notre bon peuple des idées de révoltes... Qui se sont retournées contre eux d'ailleur...
Venons en à une grande période de ma vie et de l'histoire de ce pays... L'année mil sept cent quatre vingt neuf... Vous savez que la révolution s'est produite à l'approche de l'été... A ce moment là, j'étais âgé de vingt et un ans, et pour tout dire, je m'étais passionné pour les arts noirs depuis un bout de temps... Mais je me cachais pour étudier... Car mon père, très croyant, n'était pas très pour ce genre de pratique, voyez vous... Ma mère ayant été tuer par une vieille folle qui se prétendait être la fille du diable, cela n'a fait que renforcer la croyance de ma famille... Arrêtons nous quelques instants sur cet épisode tragique : la mort de ma mère... Je n'étais pas là quand ça c'est produit, en faite, j'étais a Paris pour faire mes études à l'école militaire. Un bon noble avait pour vocation première la défense de son pays... Enfin à l'époque on disait pas "pays"... La défense de son roi et du royaume. Ayant appris la mort de la femme qui m'avait donner la vie, je rentrait tout de suite en Bretagne. Là, j'appris ce qui c'était passé... Apparement, une jeune femme l'aurait entrainée dans la forêt, on ne sait par quel moyen, et l'aurais attachée nue à une pierre... Ma mère avait été retrouvé éventrée, et lacérée par des coups e griffes... Le peuple criait que c'était l'oeuvre d'un loup garou, appelé par cette femme... Quel naïveté! Un loup garou, vous imaginez? Avec le recul que j'ai aujourd'hui, je pencherais plus pour un fragment de l'étrange... Mais revenons au sort de cette pauvre folle... Et puis après je continuerais mon récit. Elle a été brûler, obliger de regarder un crucifit pendant que les flammes la dévoraient.
Mais revenons à cette année si cruciale... Donc je vous ai dit que j'étais revenu pour l'enterrement de ma mère, de Paris. Peut de temps après mon départ, des bruits sont venu à nous... Des bruits qui disaient que le peuple de Paris se soulevait contre le pouvoir du roi Louis XVI. Des récits sanglants, des blessés venaient chez nous, en Bretagne... Toute la noblesse de Paris se faisait exécuter sur un nouvel objet que l'on appelait "l'échafaut"... En quelques sortes, la noblesse se faisait raccourcir! Dans toute la France, les révolutionnaires prenaient le pouvoir et imposait leurs lois... En bretagne aussi, jusqu'à un certain point. Moi j'étais caché dans la populace, j'avais revêtu des habits de paysans et je travaillais dans les champs... Mais bientôt, l'Etat qui c'était mit en place voulu retiré les curés de toutes les paroisses... Là, ça a commencer à partir en révolte de la part des Vendéens, suivit peu de temps après par les Bretons... Vous avez entendu parler des guerres chouannes... Et bien voila, c'était le commencement...
Je me suis engager comme d'autres nobles dans la contre révolution. Nous portions tous le symbole des chouans : un coeur surmonté d'une croix chrétienne. Pour ne pas trainer sur cette période, nous avons eût beaucoup de perte. Les républicains, comme ils se faisait appeler, étaient beaucoup plus nombreux, et beaucoup mieux équipés que nous... Ils avaient les fusils, et nous des fourche, des faux, et des fusils de chasse... Bien sûr, on récupérait les armes sur les cadavres après nos batailles, mais c'était pas suffisant pour nous assurer une victoire. Un jour, on a apprit qu'un des généraux républicain avait lancé ce que l'on a appelé une colonne infernale... En gros, c'était une colonne de soldats d'élite si vous voulez, qui rasait tous sur leur passage, les villages n'étaient plus que des ruines derrière eux. Ils tuaient femmes, enfants, hommes et veillards... Donc en faite, tout le monde... Etant noble et ayant appris l'art de la stratégie, on me confia un groupe de quatre cent ou même cinq cent hommes pour amoché un morceau de cette colonne... J'avais plusieurs solutions... L'attaque frontale, l'attaque de l'arrière de la colonne, ou l'embuscade... J'avais à ce moment opter pour l'embuscade, mes hommes connaissant comme leur poche le terrain, on pût facilement se cacher attendant le passage de cette foutu colonne. Franchement, mes hommes étaient haïneux contre ces soldats... Ah!!! Je me souviens du nom du connard qui a commandé cette colonne... Thureau! Cet enflure s'appelait Thureau... Je reviens à mon récit, donc nous étions en embuscade dans un bois, je prévoyait de faire une deuxième embuscade à un carrefour, quelques bornes plus loin... Et j'avais bien fait, car notre première fût une écatombe... Les soldats républicains s'attendaient à une attaque... En faite, c'est nous qui avons été prit par surprise, car leur colonne s'était divisé en deux... Une à gauche, et l'autre sur le chemin de droite... Et nous entre les deux. Franchement, j'ai eût de la chance de m'en sortir. Quand on est parti, on a laissé les blessers trop grave sur place... N'allez pas blâmer les pauvres paysans qui étaient là, c'est moi qui ai ordonné cet abandon... On était à cheval, pour la plupart, on s'est rendu au deuxième point d'embuscade où des renforts nous attendait déjà, tapis dans l'ombres des bosquets... Dès que l'on a vu la colonne, on a sauté dessus, massacrant tout les soldats... Mes hommes et moi, qui étions à cheval, traversions les rangs ennemies donnant des coups de sabres sur tout les hommes avec des uniformes bleu et blanc... Mon dieu, en y repensant, ça a été un carnage... Je peux encore sentir cette douce odeur du sang... Enfin bon... Après cet évènement, mes "gars" ont eût un gout amer... On se rabaissait au niveau de nos ennemis... Mais franchement, pour moi, un mal doit être vaincu par un autre mal, sinon il finit toujours par revenir... Ensuite, je vous passe quelques années ininterressantes de mon existance, pour en arrivé à mon premier rituel de transfert comme j'appelle ça. C'était un amis... Joachim... Un nom à la con si vous voulez mon avis. J'avais dans les environs des soixantes ans, et il voulait passer la soirée avec moi... Ayant bien entamer la soirée avec un verre de cognac, je le regardais plonger, ce jeune monsieur ne supportait pas l'alcool... Et il me fallait un corps... J'avais longuement étudier un rituel permettant de passer sa conscience dans le corps d'un autre. Ce que j'essayais pour la première fois avec ce Joachim... Saoul, il vint à parler de magie... Sujet interressant... après un débat assez stagnant, je le convint de l'existance de la magie. C'était presque trop facile... Ensuite, je suivis les instructions du vieu parchemin.



Une incantation était notée sur le bas du parchemin... notée c'est grand... Je dirais plutôt griffonée. La suite est plutôt sombre, et ma mémoire a toujours évité de garder un souvenir du moment post formule, si je peux me permettre. Joachim n'était plus du tout saoul, mais de le voir en moi... enfin dans mon ancien corps, ça faisait bizarre... En plus ce con s'est mit à crier que j'était un mage noir, un sorcier, et qu'il fallait m'envoyer au bûcher... Il a quand même attiré la garde, et l'inquisition de l'époque... Mais il n'avait pas pensé à un truc... Qu'il était dans mon corps et moi dans le sien. En faite en me dénonçant, il s'est condamné tout seul. Et moi? Et bien, j'ai appuyer ses arguments, il disait que j'étais un sorcier, que j'avais tracé un pentacle sur le sol et que je faisait de la sorcellerie... Oui, il était bien un sorcier, il avait tracé un pentacle sur le sol et il faisait de la sorcellerie... Joachim fût brûlé le jour suivant pour sorcellerie et pacte avec le diable, sur la grande place. A ce moment là, je ne réalisait pas que c'était l'immortalité qui me tendait les bras...

Je vais vous passez les moments de ma vie qui vont suivres directement cet évènement, car je vécu "normalement" dirons nous, bien que pour moi, la normalité n'existe pas. Donc, en résumer, l'empire à succédé à cette république que j'avais combattu, ensuite le second empire, puis ce que vous appelez les temps modernes... Pour arrivé à un autre évènement tristement célèbre : la première guerre mondiale... Inutile de vous dire que pendant ces temps qui sont passé, j'ai répéter mon rituel pour changer de corps... Et à vrai dire, j'ai toujours du mal à tuer mon ancien corps.
Donc venons en à cette guerre... L'Etat français recrutait tout les hommes en âge de ce battre... Malheureusement, j'avais l'âge... Je fut donc dépéché vers le front avec l'équipement et les armes nécessaires pour ce battre, mais la plupart des soldats était juste de simple paysans... Enfin dans mon unité... Dans le reste de l'armée ça devait être différent car sinon on aurait pas gagné la guerre. Verdun... On nous a envoyé comme chair à canon à Verdun! Vous vous rendez compte! Nous d'un coté dans nos tranchées au froid, et les Allemands de l'autre coté dans les même condition que nous... Nous étions constamment sous le feu de leurs canons... De quoi devenir soit sourd, soit fou, je vous le dit! Enfin bon... Je ne vais pas vous racontez cette guerre jours par jours car on pourrait y passer toute la semaine, et je suppose que vous avez d'autre chose à faire que de m'écouter. Donc, notre vie là-bas, c'était dormir dans la boue, jouer au carte, écrire aux familles, balancer quelques obus sur les lignes ennemies, et voila en gros... Sauf que un jour, un adjudant est venu nous dire de nous préparer pour un assaut... Encore un! si je me souviens bien, c'était le troisième en une semaine... Mais là, c'était un peu différent... Vous allez le savoir plus tard pourquoi. On préparait nos armes, les baillonettes, les grenades, et les masques à gaz, car ces enfoirés d'Allemand avait l'habitude d'utiliser du gaz contre nous...
Vous auriez dut voir le calme qui rêgnait avant l'assaut... Pas un bruit, comme si le temps avait été stoppé, comme si on était observé d'en haut. Pas un bruit, pas un mouvement... On se serrait cru à la campagne... Enfin si on faisait abstraction des corps qui jonchaient le sol, du paysages complètement éventré par les tirs de mortier. La tension et la fatigue était palpable dans la tranchée... Les soldats qui allait monter en première ligne savait qu'ils n'en ressortiraient pas... Le moment fatidique arrivait en silence... Un silence de mort, le calme avant la tempête que l'on dit... rompu par le cri de l'adjudant qui nous disait d'y aller... Quel con!! Les Allemands savaient maintenant que l'on allait attaquer. Après ce cri, nous nous précipitâmes tous sur le champs de bataille, avec nos uniforme bleu d'azur, les ennemis allaient nous ceuillir... On entendit un bruit inconnu jusqu'alors... Moi j'était dans un trou d'obus, ventre à terre... Ce bruit, en faite, c'était un canon mitrailleur que ces enflures avaient placé au milieu de leur tranchée, surèlevé pour pouvoir nous tirer dessus... Je me souviens encore très bien de mon capitaine qui menait l'assaut, en train de crier "IL ONT EUT DES RENFORTS!!! REPLIEZ VOUS!!! C'EST UN ORDR..."Le pauvre, la mitrailleuse l'avait eût... Les balles avaient déchicter son corps, il était tomber en lambeau... Paix à son âme... Quand on regardait derrière nous, on voyait tout les poilus courir comme ils pouvaient vers la tranchée, moi coincé dans mon trou comme un con, je ne pouvait pas courir vers la tranchée, je me serait fait ceuillir, et franchement, je n'avais pas très envie de finir comme mon capitaine. Dans mon trou, je pouvais tout voir... Les corps fumants de mes camarades, les corps démembrés par des explosions, le sang qui ruisselait... Ca avait été un carnage... Pour tout vous dire, je suis resté dans mon trou jusqu'a ce que la nuit tombe... Là, j'ai put rejoindre mon camp sans trop de difficulté... Mais avant, j'avais balancer une grenade dans la tranchée adverse, et pris le temps de contempler la panique qui gagnait nos adversaires... Je me rappellerais toujours de cette scène : une explosion et un jets de sang... C'est dégueulasse? Vous trouvez? Mais chers amis, la guerre c'est pas rose, on ne se lance pas des fleurs ou des chocolats... Donc je reprend, une nuit, après cet assaut complètement raté, un messager vint de Paris... Mais l'idiot c'était mit à jouer du tambour au milieu du champs qui nous séparait des Allemands... Il venait pour annoncer la fin de la guerre, et la capitulation de l'Allemagne dans cette guerre, mais le pauvre bougre n'eût pas le temps de prononcé un mot... Les Allemands l'abatturent... Une balle dans le dos, et celle ci avait transperçé notre messager... La guerre était fini et nous, on continuait à se foutre sur la gueule avec nos Allemands! Il fallu attendre un mois de plus, pour que l'Etat se décide a nous envoyer un autre messager... Celui là était plus fin, il passait dans notre tranchée nous dire que la guerre était fini, nous expliquant la reddition des Allemands... Eux aussi avait du recevoir un messager de leur gouvernement, car on les entendait ranger leur bordel, et certains pleurait même... Rentrant dans mon village, en plutot mauvais état, j'ai renouvellé mon crime... Un jeune homme de vingt ans, il venait juste de les avoir... Pierre, je crois... Enfin, ça n'avait pas trop d'importance. Ensuite j'ai continuer ma pitoyable existance, avec ce corps jusqu'en mil neuf cent quarante cinq.Entre temps, il y a eut le seconde guerre mondiale... Encore les Allemands qui nous attaquaient! Mais cette fois, ils avaient réussit à envahir mon pays... Quelle honte pour la France, ce faire battre alors que en mil neuf cent dix huit, on les avait repoussé... Dès l'instant où je su que les Allemands avaient pénétré Paris, je pris le première avion pour Londre, notre pays voisin... Je n'ai jamais eut autant de mauvaises opinions sur nos amis Anglais que pendant cette guerre... En effet, ils coulaient la flotte française en Afrique... Mais ils devaient avoir leur raison... Quoi qu'il en soit, arrivé en Angleterre, je me précipita dans les bureaux de la france libre, une organisation du Général De gaulle visant à reprendre notre pays à l'envahisseur... J'étais pilote de chasseur à cette époque là, c'est la que découvrit les sensation du vol. Ma plus belle expérience fut la bataille d'angleterre... Une foule d'avions, combattant et embrasant le ciel de Londres. Avec mon escadrille, on devait abattre les bombardiers ennemis, et deux autres groupes devaient nous couvrir contre les chasseurs adverse... Devaient... car aucun d'eux n'étaient là... On apprit plus tard qu'il s'étaient fait descendre avant d'arriver jusqu'à nous... Mais sur le moment, on pensait plus à nous et à notre objectif... Mais, en faite, on s'est fait presque tous descendre... Je ne me souviens plus comment, mais j'ai fini à l'hopital militaire durant le reste de la guerre... Les médecin se rendirent compte que la grangrène me bouffait le bras droit! Il m'emputèrent alors, mais je ne suis pas rester longtemps sans mon bras... Au bout de deux ans, je changea de corps encore une fois... Cette fois, je ne fit pas de folie avec ce corps... Je vécu tranquillement dans une petite demeure, dans ce qui était autre fois mon territoire. Je vais vous passer quelques années ininterressante pour venir a ce corps... à cette jeune fille...En trois mil six cent soixante trois, mon corps commençait à me lâcher... j'avais du mal à marcher et a respirer... Ma voisine de palier, oui, car j'habitais un immeuble, était une belle jeune fille, au cheveux brun, avec un corps à faire rougir une armée de scout... En plus, son habillement me plaisait... Des robes en velours, des corsets, de couleurs souvent sombres, en passant par le violet... à ce que je sais, cette couleurs était sans doute sa préférer. Apparemment elle me ressemblait psychologiquement... Je la fréquentais, car elle aimait venir me voir pour que je lui raconte des histoires sur l'occulte... Peut de gens s'interressent à ça de nos jours. Elle était vraiment très gentille avec moi, ce qui, entre parenthèses, n'était pas le cas avec ses parents...Ah la la les jeunes et l'autorité parentale... Un soir qu'elle venait voir le vieil homme de soixante ans que j'étais, elle me demanda comment j'avais fait pour savoir autant de chose... Je fut obliger de lui dire que j'étais un passeur... Au début je ne comptait pas m'emparer de son corps... Elle fût surprise, mais pas effrayée à mon grand étonnement... Elle me demanda alors si elle pouvait me donner son corps... A ce moment là, sa trop grande naïveté me toucha, et je lui répondit pour ne pas la décevoir que oui... Ca tombait plutôt bien, je n'avait plus la force d'aller cavaler pour chercher un corps masculin... Et puis, j'oubliai de lui préciser qu'elle mourrait après le passage... Elle aurait été une des personnes que je respecte le plus... Mais sa mort était nécessaire pour ma survie! Je préparais donc le rituel, la plaça dans le pentacle, me disant que après avoir pris son corps, je n'aurais qu'a reprendre un corps masculin... Mais enfin... Le rituel se passa bien, mais j'eût du mal à m'habituer à ces sensations nouvelles que sont celle d'une femme... Quand elle vit qu'elle n'était plus dans son corps, la petite commença à me crier dessus pour que je le lui rende... Que la naïveté est belle... J'ai été obliger de la tuer... Pour être plus précis, je l'ai étrangler, avec du regret quand même, la petiote était une personne interressante, fragile mais tellement forte... Enfin bon, ma survie en dépendait.

Hello.

Stp évite les "!!!" sans arrêt, ça nuit au récit.

Ton personnage était l'aîné de la famille, puisqu'il héritait.
Il n'a pas pu apprendre le maniement du canon de la part de son maître d'arme.

Je passe le milieu.

La fin me gêne pas mal.

Pas de cohabitation de l'esprit : Deux esprits dans un corps = coma jusqu'à ce qu'un des deux prenne le dessus et tue l'autre.

Tu ne peux pas utiliser une potion magique. Un rituel oui mais c'est tout.

Bonne continuation.

Ok, je vais retravailler ma présentation, excusez moi d'avoir poster alors que ça n'était pas au point.

Ah oui j'oubliais....

Pour le nom d'utilisateur, peut être devrais-tu changer pour "Ankh".

Oui madame, c'est fait, j'ai modifié la fin de l'histoire, et mon nom d'utilisateur...

J'avais écrit Ank's car je trouvait que c'était assez proche de Ankh, mais ce n'était pas le même mot tout à fait... Et puis, je trouvais que ça faisait un beau nom de la façon dont je l'avais écrit.

Voila les modifications que vous avez demandées ont été faites... Cela convient il?

Je crois que c'est bon.
Je valide.

Mais je pense que tu vas devoir sortir ton nez des antiquités par moments ^^ Huhuhu...

Juste un truc : un serviteur qui discute comme ça de son maître avec des étrangers, c'est pas top. Mon conseil serait d'en changer ^^

merci Dame Hecate.

Pour mon serviteur, ne vous inquiétez pas, je le surveillerai de plus près...^^